Parasitage épisode 2: le parasitage de nos émotions.
Nous avons précédemment abordé le parasitage de nos énergies physiques.
Nos émotions peuvent également être victimes de parasitages.
En effet, les émotions sont des vibrations, des énergies, qui pour les parasites sont comme de beaux fruits appétissants. En réalité, le parasitage touche nos plans vibratoires et la manifestation peut être différente selon les personnes.
Le déséquilibre émotionnel est une de ces manifestations.
Quand j’évoque le parasitage émotionnel c’est un raccourci pour vous faire comprendre qu’en provoquant certaines émotions, le parasitage va provoquer une baisse de votre taux vibratoire et ainsi rendre vos énergies accessibles aux entités (parasites).
La peur, la colère, la haine, la vengeance, la dépression…
Vous comprenez donc que plus vous serez proche de la joie moins il sera courant d’être parasité.
Les parasites (entités, âmes et autres) utilisent vos émotions pour vous maintenir à leur portée vibratoire.
Ainsi, il m’est arrivé personnellement par le passé d’être confronté à ces parasites et encore parfois.
On peut être touché directement ou non :
Je me souviens d’une situation avec ma fille alors très jeune qui avait un comportement me poussant à me mettre en colère de façon soudaine, comme si elle le faisait avec plaisir…. Jusqu’au moment où j’ai pris conscience que cet homme en colère n’était pas moi ! J’ai fait un diagnostic de mes énergies et des siennes et ai découvert qu’elle était victime de plus de 10 entités qui la poussaient à provoquer chez moi cette émotion de colère afin d’avoir accès à mes vibrations qui de fait baissaient.
Une fois « libérée » et « harmonisée » la situation n’est plus jamais reparue.
Il n’est pas rare que dans des relations interpersonnelles difficiles, les entités ajoutent de l’huile sur le feu pour en profiter. C’est possible parce qu’on à quelque chose à apprendre, à guérir, par exemple « la maîtrise des émotions », «nettoyer des liens toxiques »…
Ces situations peuvent être corrigées pour notre plus grand bien, faut-il encore être ouvert et capable de voir la situation avec un peu de recul.
Jérémie